jeudi 19 janvier 2012

Message aux professeurs Balthazar, Laforest, Lemieux et autres bonzes de l'Université Laval

Le site Internet de votre faculté m’indique que vous êtes des collaborateurs d’un certain Jonathan Paquin.

Vous trouverez ci-après copie d’une communication que je faisais parvenir à cet individu lundi dernier.

Il va sans dire que je n’ai pas reçu de réponse.

Qui s’assemble, se ressemble. Je ne doute pas que vous êtes et demeurerez solidaires de ce triste monsieur et de sa collaboration avec le CSIS. Je n’attends donc aucune réponse de votre part. Je ne sais que trop que, dans votre monde, les débats ne peuvent se dérouler qu’entre penseurs patentés et détenteurs de Ph.D.

Pour paraphraser Vigneault (qui le disait bien avant Ben Laden !), « à semer du vent de cette force-là, vous préparez une maudite tempête ! ». Mais, comme le dit encore Gilles, « p’t’êt’ ben qu’tu t’en aperçois pas ».

Soit dit en passant, j’ai déjà eu pas mal de respect pour les profs Lemieux et Balthazar. Mais de les voir acoquinés avec le CSIS et des gens comme Paquin…

Comme disait la chanson, « Say it ain’t so, Joe ! ».

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PS : J’ai les jambes qui me démangent. J’ai une folle envie de partir pour le Rwanda pour trouver réponse à une de mes vieilles (et comme toujours, odieuses) questions : si le bon père Lévesque était si bon et brillant que ça comme premier président de l’université de ce pays, comment se fait-il que les atrocités que l’on sait se soient produites ? Je travaillerais sur une hypothèse : le bon père Lévesque est bel et bien le père spirituel des universitaires de Laval d’aujourd’hui. Ces derniers, comme le bon père, se soucient des droits de la personne comme de leur première soutane.

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